الإشكــالات العمليـــة للخلــــع في الفـــــقه الإسلامي والمـــادة 54 مــــن قــانون الأسرة الجزائري

  • شوقي بنّاسي جامعة الجزائر 1

Résumé

Il ne fait aucun doute que le mariage est un contrat éternel, mais si les époux ne s’entendent plus, et ne plus vivre ensemble, il est impératif de mettre fin à la vie conjugale soit par le divorce, soit par Tatliq, ou par Khol’à. Dans ce dernier cas, l’épouse est dans l’obligation de verser à l’époux une somme, comme stipulé par l’article 54 du Code de la famille. Mais – après modification 2005 – le même article a seulement accordé à l’épouse le droit du Khol’à sans l’accord de l’époux, et ce même article ne s’est pas prononcé sur de nombreuses questions qui posent de problèmes pratiques. Et il n’est pas possible de recourir à la Chari’a pour combler ce vide comme l’indique l’article 222 du même Code, étant donné que les fouquahâs ne sont pas entendus sur ces questions, ce qui impose au législateur son intervention pour réorganiser le sujet de Khol’à.

Publiée
2019-12-15
Comment citer
بنّاسي, شوقي. الإشكــالات العمليـــة للخلــــع في الفـــــقه الإسلامي والمـــادة 54 مــــن قــانون الأسرة الجزائري. Revue jurisprudence, [S.l.], v. 11, n. 01, p. 9-32, déc. 2019. ISSN 1112-8615. Disponible à l'adresse : >https://revues.univ-biskra.dz/index.php/ijdl/article/view/4337>. Date de consultation : 15 nov. 2024